On nous raconte qu’au temps de nos ancêtres, il y avait plus d’abeilles, plus de papillons, plus d’oiseaux, plus de poissons dans les eaux… mais aujourd’hui, ces espèces se font très rares. Malgré les efforts de cultures de toutes sortes pour compenser la perte et l’évolution démographique, on n’arrive pas à vivre selon l’abondance des espèces d’autrefois. Qu’est-ce qui est la base de la disparition des espèces animales et que faire pour y remédier ?
L’homme auteur principale de la disparition des espèces animales
Vidés de leurs espèces, les écosystèmes risquent la disparition. Ce faisant, ils emporteront avec eux les nombreux services reçus gratuitement de la nature. Et cela à cause des actions de l’homme. Est-ce de l’ignorance, la méconnaissance, ou la méchanceté ? Tout compte fait c’est de l’irresponsabilité et l’inconscience. Car si nous savons que nous ne constituons pas la fin de l’espèce humaine, et agissons comme tout est à nous, c’est dramatique. Si nous ne sommes pas conscients que l’évolution galopante de la démographie augmente les besoins et exige plus de production de la nature, c’est dommage. Si nous ne nous rendons pas compte que le déphasage entre la consommation et la régénération des espèces consommées est énorme, c’est ahurissant. Alors il importe qu’on prenne conscience de nos actes sur la nature, nous rendre responsables de la disparition des espèces animales pour restaurer la biodiversité.
Que faire pour restaurer la biodiversité ?
On ne peut jamais dire que rien ne se fait. Mais comme on le dit souvent tant qu’il reste à faire, c’est que rien n’est fait. Alors, les politiques d’extensions de départements et la création de nouveaux centres urbains doivent être ralenties en France et dans le reste de l’Europe. Si l’urgence il y a, elles doivent tenir compte de la nature ou même, avant de détruire un écosystème qu’on soit sûr qu’il y est déjà créé un autre prêt à le remplacer. De même dans les pays en voie de développement, les politiques d’urbanisation doivent prendre désormais en compte des dispositions idoines pour protéger les espèces.
Voilà, chaque fois que vous voulez acter sur la nature souvenez – vous de l’impact que votre acte peut créer maintenant et pour les générations futures.